Un Poète dans la Ville

Les premières lignes du Petit Ferneysien (novembre-décembre) nous avaient échappé et c’est malheur. Comme Monsieur Jourdain, Tétaine y fait de la prose à l’insu de son plein gré. Lisez plutôt: « L’été terminé, voici le retour de l’automne qui nous livre ses couleurs chaleureuses et changeantes annonçant l’arrivée prochaine de l’hiver ».

C’est beau comme de l’antique. Mais c’est du toc.

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