
Les temps sont durs. Et ce n’est rien encore, comparé à ce qui nous attend. Le privilège frontalier ne fera que retarder l’échéance. De toute manière, le temps où l’on profitait de deux jours de congé pour avaler les 1000 km menant à la Côte d’Azur, où trois semaines de loisirs organisés à l’autre bout de la planète ne coûtaient pas plus cher que quinze jours chez soi, où le fric tenait pavé haut jusqu’à éclabousser les piétons, ce temps est révolu.