Ferney Candide / Numéro zéro / Samedi 12 janvier 1974

Les temps sont durs. Et ce n’est rien encore, comparé à ce qui nous attend. Le privilège frontalier ne fera que retarder l’échéance. De toute manière, le temps où l’on profitait de deux jours de congé pour avaler les 1000 km menant à la Côte d’Azur, où trois semaines de loisirs organisés à l’autre bout de la planète ne coûtaient pas plus cher que quinze jours chez soi, où le fric tenait pavé haut jusqu’à éclabousser les piétons, ce temps est révolu.

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Une réflexion sur « Ferney Candide / Numéro zéro / Samedi 12 janvier 1974 »

  1. En 1974, Alex et moi faisions connaissance quelque part dans les rues ou les bistrots de Ferney-Voltaire, je pense au restaurant des Grillades…

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