Jeudi soir, pour soutenir Meylan à la salle du Levant, sa clique était venue faire la claque au premier rang. Vendredi, elle est revenue aux derniers rangs, cette fois pour perturber la réunion de Raphoz. Questions bricolées, déclarations indigestes, rictus indignes, brouhaha organisé, la soirée a été agitée mais, en gardant son calme face à ce corps expéditionnaire d’opérette, Raphoz a finalement retourné le match en sa faveur et sans doute gagné quelques points supplémentaires. Ne restait plus aux agités qu’à prendre leurs cliques et leurs claques comme ils le feront peut-être dimanche, sauf tsunami de dernière minute.
Sandrine Voter sans réflé
Sandrine vous n’êtes pas crédible
le vote est un acte citoyen mais réfléchi
et vous écrivez : j’ai voté sans réfléchir ,alors il faut murir et réfléchir votre vote a une valeur ,a une portée,votre vote représente une idée que vous défendez :VOTER SANS REFlECHIR surement un nouveau concept de la nouvelle société .
Cet article est très approximatif, voire mensonger, puisque non seulement j’ai moi-même aperçu des colistiers de François Meylan au premier rang, mais surtout aucun d’entre eux n’a pris la parole hier.
Par ailleurs les huées et les interruptions inacceptables qui se sont produites hier ont souvent été le fait des soutiens de Daniel Raphoz.
Je vous trouve très à l’aise avec la vérité, ce qui ne fait pas honneur à votre profession de journaliste.
Cher Alex, ta rancune envers françois Meylan te conduit-elle à faire de Ferney Candide le journal de l’UMP?
Triste fin de carrière pour celui qui fut de tous les combats…
Amitié attristée quand même
Ou est mon commentaire ?
Personnellement, j’étais présente à ce meeting pour protester contre des propos qui m’ont blessé. Je crois sincèrement que vous vous trompez au sujet de cette réunion. D’après ce que j’ai vu de son déroulement, les vives critiques et l’indignation du public n’ont jamais été le fait des membres de la liste de François Meylan qui se sont contentés d’un rôle d’observateurs mais d’habitants de Ferney qui se sont sentis blessés par certaines injures. Monsieur Meylan a fait campagne sur un programme et non pas en montant les gens les uns contre les autres ou en s’attaquant aux plus démunis. On ne peut pas demander aux Ferneysiens de se taire quand ils se sentent blessés par des propos indignes! Quand je vous lis, je me demande si vous pensez que Ni putes ni soumises n’est pas légitime à demander des justifications sur des propos insultants. Je me demande si vous justifiez une politique où on propose aux gens des caméras de vidéosurveillance plutôt que des logements dont ils ont réellement besoin.
Ce qui fut indigne hier ce ne sont pas les questions de la salle (la liberté d’expression me semble un droit fondamental) mais les opinions des membres de la liste de Monsieur Raphoz. En tant que femme, je me suis sentie insultée et pourtant je n’ai été contactée ni par Monsieur Meylan ni par son équipe.
L’image générale que m’a laissé Monsieur Raphoz n’est pas celle d’une victime mais d’un menteur. J’avais voté pour lui au premier tour sans réfléchir. Maintenant que je connais mieux ses véritables opinions politiques il peut toujours courir.
Une lectrice