« Erections pestilentielles », disait Coluche. Cette fois, il va vraiment falloir se boucher le nez !
La chasse est ouverte
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Meylan-Chon après Meylan-Colique ?
Ferney ne fait jamais comme les autres. Aux récentes Européennes, les Ferneysiens ont placé LFI en tête et le RN en quatrième position. Les « quartiers », comme on les appelle pudiquement, n’y sont sans doute pas pour rien. En 2008 déjà, le futur maire François Meylan ne s’était pas privé d’aller aux Tattes flatter la démagogie dans le sens du poil. Résultat : bingo ! et, le soir de son triomphe, de longs concerts de youyous devant la mairie.
Cette fois, c’est donc le beau Jolie qui est de retour. Arrivera-t-il en tête à Ferney ? Pas impossible mais la troisième circoncision de l’Ain est grande et Allah ne sera pas forcément son prophète.
Notre comtesse FN à nous
Venue tout droit de chez Zemmour, dont elle portait les couleurs en 2022, Karine Dubarry monte au Front. Comme la Comtesse du Barry (pas la favorite de Louis XV, non, celle qui vend du pâté en boîte depuis 1908), notre comtesse à nous fait dans l’alimentaire, pour ne pas dire la tambouille. Nous vous recommandons vivement sa Terrine de Campagne 2024 (voir photo).
Fulgence Kouassi-Couça
Aux premier tour des Législatives de 2022 à Ferney, l’inénarrable Fulgence Kouassi avait obtenu 61 voix. Cette fois, il peut en espérer une de plus, celle de l’aveugle de la rue de Versoix qui se trompe régulièrement dans l’isoloir, faute de bulletins imprimés en braille.
Vancance(s) du pouvoir
La belle Olga, notre députée dépitée, a choisi de partir en vacances le 8 juillet. Avec un peu de chance, elle pourra même réserver son billet pour le 1er.
A la colle avec Khadija
Elle colle, colle, colle encore mais elle ne décolle toujours pas.
Le retour de Candide
Après des semaines de tracas informatiques, Candide est de retour en ligne.
La suite dans quelques heures. Merci de votre patience.
Le rat de ville et le rat des champs
Autrefois le rat de ville
Invita le rat des champs,
D’une façon fort civile,
À des reliefs d’ortolans.
L’histoire se passe, promis-juré, à deux pas de l’école ferneysienne Jean-de-la-Fontaine, au bord d’un ruisseau séparant deux groupes d’immeubles assez dissemblables. Le premier est à droite, aux deux sens du terme. Avec son nom grec un peu m’as-tu-vu, il a été construit voilà quelques années sur un terrain vendu par Pierre-Etienne Duty, maire d’alors et à droite lui aussi. Bon chic bon genre, l’un et l’autre.
Les Gexois en couleurs
Yann Arthus-Bertrand va photographier les Gexois, alors que tant d’autres ne peuvent plus les voir en peinture.
Légocentrisme à Ferney (suite mais sans doute pas fin)
