2 réflexions sur « Voltaire atterré »

1. Les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés et les journalistes les plus mal inspirés. Trouver le moyen de commettre une erreur dans un article censé dénoncer une erreur, fortiche, non ?
   Pour le reste, un journaliste ne cite pas ses sources. La seule certitude, c’est que ce message a été adressé tel quel à un bon nombre de destinataires et qu’il émane de la mairie. Les récipiendaires n’ont tout de même pas à enquêter pour savoir qui est ou non autorisé à leur envoyer un tel message.
   Tout cela prend des proportions insoupçonnées alors qu’il ne s’agit que d’un simple trait d’ironie. Les personnes travaillant au service Culture-Communication ont toujours été précises et efficaces. Ce n’est pas une infime boulette qui doit permettre de les clouer au pilori. Tout juste d’en sourire quelques instants.
   Alex Décotte

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2. « Un » peut y lire ? C’est Voltaire qu’on assassine ! Non, sérieusement, comme le disait le poète (enfin je crois), une seule lettre vous manque et tout est dépeuplé. Alors quand deux lettres font défaut, c’est la dévastation. Tout ce que je puis dire, c’est que la dernière version du texte que j’ai relue ce matin ne comportait aucune coquille. Elle correspond au document officiellement adressé aux personnalités invitées à la FAV. Si j’ai bien compris, et après enquête, la version reçue par Ferney-Candide correspond à un texte qui n’a pas été officiellement diffusé (c’est-à-dire qui n’a pas été adressé par les services municipaux en charge de la communication). Ferney-Candide peut-il confirmer que le texte très fautif qu’il a reçu ne lui pas a été communiqué par lesdits services mais par une voie parallèle ?
   Alex, pour changer de sujet, tu es cité dans le dernier numéro de la Gazette des Délices qui vient de paraître ce matin. Félicitations 😉

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