La réélection de Mercier n’est pas cousue de fil blanc.
Bien sur, l’homme est maintenant expérimenté car avec son élection à la région il est entré dans le moule de l’écologie politique. Encore jeune mais déjà vert moulu, son principal atout. Le danger c’est le bilan avec des anciennes promesses à la trappe. Il a, sans détour, abandonné le projet de contournement du centre historique d’Ornex. Au grand désespoir d’ex-colistiers. Vous savez, un ami râle et vous voilà torpillé.
En face son adversaire saura-t-il tirer son épingle du jeu?
Jean François Obez, vieux cheval de retour, a fait entrer quelques jeunes poulains sur sa liste. Il aimerait bien connaitre l’ivresse de la victoire.
L’enjeu: comme partout, les problèmes d’urbanisme. Ornex est pourtant pas mal lotis.
Le clivage n’est pas gauche-droite dans un village qui n’a pas de centre.
Non, on a une opposition entre ceux qui sont des urbains voulant vivre à la campagne et ceux qui sont des ruraux désirant les services de la ville. Les Ornésiens sont des béotiens en matière de sociologie, et il faudra encore beaucoup d’élections avant qu’ils ne se rendent compte qu’en fait ils sont tous des rurbains. Bon, pour l’instant, l’ambiance, heureusement, reste au calme.
La réélection de Mercier n’est pas cousue de fil blanc.
Bien sur, l’homme est maintenant expérimenté car avec son élection à la région il est entré dans le moule de l’écologie politique. Encore jeune mais déjà vert moulu, son principal atout. Le danger c’est le bilan avec des anciennes promesses à la trappe. Il a, sans détour, abandonné le projet de contournement du centre historique d’Ornex. Au grand désespoir d’ex-colistiers. Vous savez, un ami râle et vous voilà torpillé.
En face son adversaire saura-t-il tirer son épingle du jeu?
Jean François Obez, vieux cheval de retour, a fait entrer quelques jeunes poulains sur sa liste. Il aimerait bien connaitre l’ivresse de la victoire.
L’enjeu: comme partout, les problèmes d’urbanisme. Ornex est pourtant pas mal lotis.
Le clivage n’est pas gauche-droite dans un village qui n’a pas de centre.
Non, on a une opposition entre ceux qui sont des urbains voulant vivre à la campagne et ceux qui sont des ruraux désirant les services de la ville. Les Ornésiens sont des béotiens en matière de sociologie, et il faudra encore beaucoup d’élections avant qu’ils ne se rendent compte qu’en fait ils sont tous des rurbains. Bon, pour l’instant, l’ambiance, heureusement, reste au calme.