Comme si un seul Blanc (Etienne) ne suffisait pas, voilà qu’un autre Blanc (Alain) se présente à Péron. L’histoire ne dit pas si Blanc soutient Blanc. Ce serait pourtant utile, dans le cas où Blanc viendrait à se fracturer le Péronais en tombant du Péron.
Durant le mandat qui se termine, certains élus ont brillé par leur absence, au point que les électeurs – et même leurs co-listiers – ne les reconnaîtraient pas s’ils les croisaient dans la rue ! Heureusement, tout ça va changer grâce au trombinoscope imprimé sur les tracts électoraux. Sauf que…
Sauf que plusieurs candidats n’ont même pas daigné figurer sur la photo de groupe. Ainsi à Ferney, où chaque liste comporte obligatoirement 29 candidats, l’affiche Landreau n’en montre que 28, l’affiche Raphoz 25 et l’affiche Meylan 22 ! Pourvu que ce ne soit pas le tiercé dans l’ordre …
Déja 5.600 visiteurs en deux semaines à la mi-mars. Et près de 13.700 depuis le début de l’année, sans compter tous ceux qui reçoivent directement nos articles sur Facebook, Twitter ou LinkedIn. Chiche que Candide aura dans quinze jours davantage de lecteurs que le Pays de Gex n’aura de votants, premier et deuxième tour confondus ?
Il est bon d’avoir des lettres mais il est réconfortant aussi, parfois, d’avoir des chiffres.
Dimanche, qu’on se le dise, ce ne sont pas les candidats qui iront à la rencontre des électeurs mais les électeurs qui iront à celle des … moutons ! L’idée vient de Michelle Chenu-Durafour, tête de liste de « Saint-Genis-Pouilly, réveille-toi ».
Des moutons, il y en a toujours eu à Saint-Genis et ils sont davantage encore depuis que le village est devenu ville. Certains iront même bientôt voter et c’est bien pour ça qu’on les convoque sur le champ.
Réveiller Saint-Genis avec des moutons, l’ambition est louable mais saugrenue. D’habitude, les moutons, on les compte plutôt pour s’endormir. Bonne nuit, les petits. Et rendez-vous à la Saint-Hubert.
La vie privée est privée, certes. Mais les jugements sont publics. Celui du 11 mars 2013 comme les autres. Ce jour-là, la neuvième chambre de la cour d’appel de Lyon avait à statuer sur la pension alimentaire que M. Christian Landreau, demeurant à Ferney-Voltaire, ne payait plus depuis longtemps, de façon « parfaitement volontaire », à son ex-épouse.
Certains des attendus du jugement sont particulièrement croquignolets : « Attendu que Christian Landreau n’a certes jamais été condamné ; que sa situation matérielle, mais surtout sa personnalité inquiétante, révélée de façon édifiante pas ses déclarations, à l’audience, pour le moins confuses, notamment sur sa situation professionnelle… »
Résultat des courses : Le Tribunal a condamné Christan Landreau à « 3 mois d’emprisonnement avec sursis assorti d’une mise à l’épreuve pendant 3 ans ».
Ainsi donc, le candidat à la mairie de Ferney pourrait bien, s’il était élu, installer un beau matin son bureau derrière les barreaux d’une cellule. Sauf s’il se décidait enfin à payer son dû à son ex-épouse, ce qu’après tout il pourrait faire avec … son indemnité de maire. Pour une fois que les impôts des Ferneysiens serviraient à quelque chose…
Il a fière allure, notre François, sur son site web. Couleurs pimpantes. Un vrai drapeau ! Bleu et blanc éclatants. Hélas, pour le rouge, que dalle ! Heureusement, on se rattrape un peu avec le rose poupin du visage. Bleu – blanc – rose, l’étendard de la victoire ?
Il reste pourtant encore un petit problème. Regardez bien cet agrandissement…
Le regard est droit, certes. Le nez un peu tordu, ce n’est pas mortel. Mais la bouche, la bouche! L’erreur saute aux yeux comme le nez au milieu du visage ! La bouche penche à droite ! Erreur de jeunesse ? Retour aux sources ? Mauvais alignement politique ?
Pas d’inquiétude. Grâce à Ferney-Candide, un petit coup de PS (PhotoShop) et il n’y paraîtra plus !
« Le ministère des droits des femmes, laissez-moi rire quand les conneries vont-elles cesser, bientôt un ministre au droit des insectes! »
Ce charmant tweet, publié le 16 mai 2012, est de la main d’Alexandre Coulon, candidat sur la liste de Daniel Raphoz. Ses quatorze co-listières apprécieront !
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Impossible, sur des listes dont les candidats sont en nombre impair, d’établir la parité parfaite. Il y a forcément un homme ou une femme de trop. A Ferney, le seul à avoir résolu le problème est Daniel Raphoz.
Sur sa liste figure, en 25è position, « Patriarca Jean-François, retraitée ». Un homme, une femme ? En tout cas, voilà qui fait mauvais genre.